Des joies de l'avant

Que j'aime ce mois de décembre et la douce effervescence qui le caractérise...

Naaan, en fait, c'est pas vrai, je suis une vraie grosse teigne : si j'avais dû écrire ce billet hier, je t'aurais dit que je détestais décembre et ces conneries de fêtes de fin d'année, que les cadeaux, c'est super lourd et que fuck la tradition. Mais entre temps, j'ai trouvé le cadeau de ma mère et celui de mon beau-frère, les deux plus importants parmi ceux qui me manquaient quoi... Et rien que ça, ça m'a ramenée à de bien meilleurs sentiments.

Pour te dire : à peine ça m'a piqué les fesses de payer deux heures de stationnement alors que j'étais restée dans le parking très précisément 1 heure et 1 minute... À peine j'ai râlé quand ma CB n'a plus voulu en jouer, heureusement que c'était une fois arrivée à la presque fin parce que sinon la terre entière en aurait entendu parler... J'en ai même presque oublié qu'au moment où je suis partie de la maison, Couscous était fièrement installée sur le pas de la porte d'entrée, en train de dévorer consciencieusement la cervelle du mulot qu'elle venait d'assassiner, saloperie de chat !

Bûche de Noyël de-la-mort-qui-tue commandée, cadeau introuvable en boutique finalement déniché dans un recoin de l'internet avec les frais de port offerts qui plus est, jolies cartes de vœux pas trop chères achetées, paquets quasiment terminés, je trouve que j'ai été d'une efficacité rare. Pour une fois que je ne suis pas trop mécontente de moi, ça valait le coup d'être souligné.

Y'a plus qu'à laisser le temps couler maintenant...!

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