lundi 28 février 2011

C'est lundi... Que lisez-vous ? #4

Lu la semaine passée :


Le Magicien, de Jean-Marc Souvira.

En cours :


Été, de Mons Kallentoft.

Un gros ralentissement de mon activité en matière de lecture... Pas trop d'énergie, du mal à maintenir ma concentration à un niveau optimal :-S ...

Pour le rendez-vous du lundi de Malou, géré dorénavant par Galleane.


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Mémoire de guerre - Un lundi parmi tant d'autres #14

Des bijoux, j'en ai. Quelques uns. Parce que j'ai la chance d'avoir un Amoureux qui m'en offre, et je me suis à chaque fois sentie terriblement gâtée. Et aussi parce que j'en ai qui me viennent de mes grands-mères. Je dois l'avouer, ceux-là ont une place particulière dans mon cœur.

Mais aucun n'a autant de valeur que celui-là...


Mon grand-père maternel a, comme on dit, "fait la guerre". La deuxième, celle de 39-45. Il a assez peu combattu, ayant été fait prisonnier tôt dans le conflit. Il a ainsi passé la plupart de ces années emprisonné en Allemagne.
Ce n'était pas un club de vacances, loin de là. Les prisonniers se sont ainsi retrouvés à travailler pour l'effort de guerre ennemi... Et le soir, au moment de retourner en cellule, les heures s'assombrissaient encore plus.
Il est parvenu, à plusieurs reprises, à subtiliser au cours de sa journée de travail quelques pièces de métal qui l'ont ensuite occupé le soir, la nuit, pendant les longs mois qu'a duré sa captivité.

Cette chevalière a été façonnée, puis gravée de ses initiales avec les moyens du bord. Chaque soir, pendant chaque heure sombre qu'il a passée loin des siens. Il l'a ensuite portée, jusqu'à sa libération. Nous n'en avons jamais parlé, hormis le jour où il me l'a remise, il est des souvenirs probablement trop douloureux pour être ravivés... Mais je suis fière et heureuse qu'il m'ait choisie pour lui faire traverser les temps.
Un bijou avec une sacrée histoire !

Pour le Lundi parmi tant d'autres de Chrys et Zaza !


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samedi 26 février 2011

Qui c'est qui va se les geler ce week-end...?!?...

T'as deviné, Hannibal, c'est moi ;-) !!!

Pourquoi me diras-tu...?
Pour ça...


Là, tu me lis mais je suis sur la route : direction Bordeaux, pour voir Mademoiselle A. patiner et, bien évidemment, l'encourager.
Et, bien plus qu'un simple week-end au bord de la patinoire, je m'offre un petit entraînement pour la semaine de vacances qui viendra derrière et que nous passerons dans le département le plus froid de France, le département natal de ma Lilly, le Jura.

Bonnets, écharpes (oui oui, au pluriel, j'en ai prévu plusieurs !), gants, chaussettes épaisses, j'ai tout prévu. J'ai même investi dans une houppelande, enfin ça, c'est Petit C qui le dit, pour moi c'est juste un manteau !!!
Du stick pour les lèvres, de la crème pour les mains... Bref, je crois que j'ai tout l'attirail anti-froid... Qu'en penses-tu, Angélita...?
;-)

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vendredi 25 février 2011

La mode - True Colors #4


Non, je n'aime pas le rose...
Et pas trop les chaussures non plus... ;-) !
Je dois avouer que je suis assez hermétique à tout ce qui fait la mode sauf quand celle-ci concerne nos pieds !

Pour le True Colors de Nikit@.


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Bah voilà... Je suis coincée... :-S


Tu connais le CEM, Hannibal...?
Le CEM, c'est le coefficient d'emmerdement maximal, autrement appelé Loi de Murphy. Chez moi, ça se traduit par "Quand tout va mal, tu n'y crois pas, mais ça peut aller encore plus mal."... :-S

Un faux mouvement sous la douche, en me lavant les cheveux, et me voilà complètement coincée du cou. Et quand je dis complètement, tu le sais, je ne fais pas les choses à moitié !
Coincée au point de ne plus rien pouvoir avaler, sous peine de déclencher des douleurs fulgurantes, d'ailleurs c'est tout juste si je peux déglutir sans hurler...
Là, je prends un peu de temps et beaucoup sur moi pour pouvoir t'écrire trois mots, que tu ne t'étonnes pas si tu ne me vois pas dans les jours qui viennent, mais je suis vachement emmerdée... Il n'y a aucune position dans laquelle je me sente soulagée, enfin je vais rester optimiste et dire que je ne l'ai pas encore trouvée si elle existe ! Et puis, les six heures de voiture demain pour aller voir Mademoiselle A. patiner à Bordeaux, je sens que ça ne va pas le faire...

Bon bah... Je te laisse... Assise devant Monsieur Mac, ça ne le fait pas du tout, je vais aller essayer autre chose ;-) !

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Le banc du Diable - Clic-clac #20


Le Malin vient-il s'asseoir, à la nuit tombée, sur cet étrange banc aperçu sur les rives de la Vlatva...???

Pour le clic-clac de Cricri.
Cricri qui organise aussi un chouette petit jeu pour tenter de remporter de quoi découvrir la littérature noire belge, et pour ça, tu cliqueras sur sa bannière dans ma colonne de droite !

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jeudi 24 février 2011

Avarice


"L'avarice est le pire défaut qui existe, si on compte ses sous, on compte aussi ses sentiments."
Michel Audiard

*** Photo "empruntée" sur le net. ***

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Ping-pong - Jean-Bernard Pouy & Marc Villard


Existe-t-il un lien entre un tampax qui attend son heure funeste au fond d'une boîte, un névrosé en proie à des convulsions meurtrières lorsque sa voisine se méprend sur la paternité du célébrissime Kind of blue de Miles, ou encore un sans-papiers congolais qui fonce vers la mort, des diams plein les poches ? À priori, non. Mais ce serait sans compter avec l'imagination de Marc Villard et de Jean-Bernard Pouy, qui conjuguent leur verve et leur talent dans ce recueil où les textes s'enchaînent selon le principe du "cadavre exquis".
Réuni pour la première fois dans un livre, le duo nous conte la violence et le tragique de ce monde à coups d'ironie grinçante et d'humour décapant.

"Chez Jean-Bernard Pouy, la dérision masque le tragique, le canular est toujours à portée de plume et a liberté est fondamentale."
Jean-Jacques Bloch

"L'écriture de Marc Villard est pure, le rythme monte à la tête et la poésie s'impose."
Hubert Artus, Rolling Stone

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J'avais adoré Zigzag, le troisième roman écrit à quatre mains par ces mêmes auteurs, souviens-toi, je t'en avais parlé . C'est donc tout naturellement que j'ai eu envie de découvrir les autres.

Et hélas, j'ai été déçue pas celui-ci.

J'ai trouvé le principe du cadavre exquis moins astucieux, moins surprenant que ce qui a été utilisé dans Zigzag, à savoir de faire écrire chacun des auteurs sur les thèmes de prédilection de l'autre.
Il en résulte une histoire que j'ai eu du mal à suivre. j'ai souvent trouvé les liens entre les différents chapitres très tirés par les cheveux. Et je l'avoue, quelques semaines après ma lecture, il ne m'en reste pas grand chose.

Fort heureusement, il reste que ces deux auteurs ont chacun une façon de manier la langue absolument éblouissante.
J'ai donc été, cette fois-ci, plus charmée par la forme que par le fond.
Je vais donc m'attaquer prochainement à Tohu-bohu, histoire de savoir laquelle de ces deux impressions contradictoires est la bonne ;-) !

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Une ferme de papier

Ma ferme à moi, elle est dans ma bibliothèque ;-) !

Clic-clic

Clic-clic


Avec ces deux ouvrages que j'aime.
Que j'aime tant que je les offre souvent, en plus de les vendre !
Si toi aussi, tu veux les offrir, je ne saurais que trop te conseiller de cliquer sous les images.

Pour Virginie qui est partie avec ses deux grands dire bonjour à Candy à Paris ;-) !


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mercredi 23 février 2011

Mais où sont donc passées les pipelettes...???


Non mais c'est vrai, ça...!
Internet a merdoyé presque toute la journée ici et, ce soir, je m'absente quelques heures pour aller pleurnicher devant me régaler d'un excellent film au cinéma et voilà qu'à mon retour, plus de rubrique pipelettes sur HelloCoton... :-S
À la place, on a le droit à famille, humeurs, tricot, maternité ou littérature, j'en passe et des meilleures... Mais les pipelettes ont disparu...

J'aimais pourtant bien ça et je trouvais que c'était un mot qui me définissait plutôt pas mal, pipelette. Ça disait bien ce que ça voulait dire : que j'ai des avis sur tout, que j'ai surtout des avis, des avis sur rien parfois aussi, des avis de rien du tout...
Je trouvais ça léger parce que, parfois, quand on blogue, on ne se prend pas au sérieux. Ça soulignait la futilité qui peut parfois être celle de mon petit monde, une futilité qui, je dois l'avouer, me fait du bien !
Bon, tu me diras, ça aurait pu être pire, on aurait pu se retrouver avec une rubrique répondant au doux nom de "multi-thématique" ;-) !

Et, dans le même temps, il n'y a pas que pour les pipelettes que ça déménage, puisque l'évasion et la culture font désormais page commune...
Je ne sais qu'en penser... Moi, quand j'ai envie de lire des récits de voyage, ai-je réellement le courage de les chercher au milieu des critiques de livres et de films...? Bah, oui, je sais, la réponse, elle n'est pas cool, puisque c'est non...

Dans le fond, je sais qu'il faut aussi du changement, que ça fait partie de la "règle du jeu", à plus forte raison dans ce monde virtuel, mais j'ai à chaque fois bien du mal à m'y faire. Tiens, regarde, la dernière fois qu'ils ont bidouillé un truc sur FesseBouc, j'ai mis des semaines à m'en remettre. Parce que ça me perturbait. Moi, le taureau ascendant taureau, la terrienne aux pieds plantés dans le sol jusqu'aux genoux, l'inébranlable que les habitudes rassurent...
Mais là, tu vois, j'ai l'impression qu'on m'a piqué un truc... :-S

S'te plaît, gentille Team HelloCoton, tu veux pas nous les rendre, les pipelettes...???

*** Photo "empruntée" sur le net. ***

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La confrérie des mutilés - Brian Evenson


Après avoir perdu une main lors d'un réglement de comptes, Kline, un détective privé, se voit confier une enquête au sein d'une société secrète composée de mutilés volontaires, où un meurtre a été commis. Mais, pour cela, Kline doit gagner la confiance des membres de cette étrange secte. Or cette confiance se paie cher : pour accéder à certais niveaux de la hiérarchie, il convient d'être à chaque fois davantage amputé...
Jusqu'où Kline sera-t-il prêt à aller pour découvrir l'insoutenable vérité ? Les voies de la confrérie sont-elles impénétrables ?

"L'écriture épurée, la tension, la force des images font de ce fantastique roman une œuvre obsédante et vertigineuse."
Christine Ferniot, Télérama.

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Humour noir, horreur banalisée, tension... Rarement un roman m'aura offert des sensations aussi extrêmes...
Bon, je l'avoue, la lecture n'a pas été facilitée puisque j'ai la phobie des cicatrices. Alors, tu penses bien, les mutilations, c'est franchement au-delà de ce que je peux supporter. Et si, en plus, comme ici, elles sont volontaires, je te laisse imaginer dans quel état m'ont laissée les premières pages !
J'ai bien cru que j'allais être obligée d'abandonner...

Mais j'ai tenu bon. Et je ne le regrette pas !

On est aux frontières du roman policier et la folie rôde tout au long de ces pages. Personnages et situations semblent tout droit sortis du plus tordu des esprits. Je savais vaguement où je mettais les pieds, puisque ce livre m'avait été conseillé mais je n'avais certainement pas mesuré à quel point il allait pouvoir m'ébranler.

Alors, je te recommande cette lecture, oui, mais seulement si tu as le cerveau en bon état de marche et le cœur bien accroché ;-) !

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mardi 22 février 2011

Pieds nus sur les limaces - Fabienne Berthaud


Lily ne fait que des bêtises : dépecer de petits animaux, insulter les gens, coucher avec n'importe qui. Lily est étrange, sa famille aussi. Sauf Clara, douce et raisonnable, qui s'est sacrifiée pour la folie des autres.
Aujourd'hui, Clara est fatiguée. parfois, elle trouve encore la force de prendre sa sœur dans ses bras pour la serrer fort, de plus en plus fort...

"Je venais d'avoir dix-huit ans. j'avais l'âme à genoux et de la tristesse plein les poches."

Fabienne Berthaud, cinéaste et romancière française, a adapté pour le cinéma son roman Pieds nus sur les limaces ; le film a été primé du Art Cinema Award à Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs 2010.

"Fabienne Berthaud raconte avec pudeur et une inventivité artistique réjouissante le rapport entre deux sœurs." Lire.

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Beaucoup d'émotions à la lecture de ce très joli roman récemment adapté au cinéma. Des émotions contradictoires.

De l'empathie, de la compassion... Mesurer à chaque page combien le choix fait par Clara de veiller sur Lily est terrible. J'ai été terrassée par l'immensité de ce sacrifice. Et, dans le même temps, j'imagine aisément ce que l'on peut être prête à faire quand on aime sa sœur, combien certaines décisions peuvent se prendre très facilement.

De l'agacement aussi... Dire que le personnage de Lily est insupportable pourrait être mal interprété, et évidemment, elle m'a touchée. Mais je me suis aussi demandé comment j'aurais bien pu réagir si ça avait été moi qui m'étais trouvée face à elle...

Tu le comprends, cette lecture m'a fait tour à tour chaud... Froid... Puis à nouveau chaud... Et encore froid... etc etc...
Il en reste qu'une fois le livre refermé, je me suis sentie vraiment bouleversée, touchée, émue... Ce roman est poignant, ne passe pas à côté !

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Un manteau en poils et du rose


Lilly, ma nièce, a déjà, à deux ans et demi, des idées très arrêtées en matière de mode : une fille se doit de porter du rose... Et un manteau trop petit en faux lapin ;-) !!!

Pour le Un jour, un look de Zaza !
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lundi 21 février 2011

Chercher les responsabilités...


"C'est drôle ce besoin qu'ont les gens d'accuser les autres d'avoir gâché leur existence. Alors qu'ils y parviennent si bien eux-mêmes, sans l'aide de quiconque."
Amélie Nothomb - Cosmétique de l'ennemi

*** Photo "empruntée" sur le net. ***

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Mes petits bonheurs - Un lundi parmi tant d'autres #13

J'avoue, j'ai séché le rendez-vous hebdomadaire de Chrys et Zaza pendant quelques semaines... L'inspiration en panne... :-S
Mais heureusement, le thème d'aujourd'hui me remet en selle. Et de plus, tu vas comprendre, il est cher à mon cœur.

Les petits bonheurs, je travaille depuis quelques semaines dessus avec la personne qui s'occupe de moi pour m'aider à surmonter mes problèmes de santé.
Le principe est simple : savoir reconnaître les petits bonheurs quand ils traversent ma vie, les "attraper", apprendre à clairement les identifier. Peut-être que ça te dira quelque chose, le but du "jeu", c'est de prouver que ta vie est bien plus rose que noire ;-) !

Bref, pour donner vie et matière à ces petits moments plaisants de mon quotidien, j'ai pris une décision.
Tâââdâââm...!!!


 Ce n'est pas forcément tous les jours facile. Ça me prend du temps mais je sais que c'est nécessaire et que mon mieux-être passe par là. Et puis, j'ai trouvé que c'était une façon ludique de mettre en pratique cette méthode qui, je dois le reconnaître, me fait du bien, m'aide à voir les choses de façon plus positive.
Si tu veux voir, c'est par là.

Pour le rendez-vous du lundi de Chrys et Zaza.


*** Et un grand merci à Miss A. de m'avoir, elle aussi, emmenée sur cette voie. ***

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dimanche 20 février 2011

L'amour - True Colors #3


... Voilà ce qui fait battre mon cœur !

Pour le True Colors de Nikit@.


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Mon calvaire du dimanche...


... S'appelle American Dad ! ...

Je trouve ça bête, vulgaire, moche, violent, j'en passe et des meilleures... :-S
Et j'ai beau essayer de comprendre depuis des mois et des mois, je n'arrive toujours pas à capter pourquoi Mademoiselle A est complètement captivée par cette ânerie...

Ça doit être ce qu'on appelle les mystères de l'adolescence :-D !!!
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On a de la chance de vivre aujourd'hui - Kate Atkinson


Un nouveau recueil de nouvelles de Kate Atkinson, c'est toujours un évènement.
D'un mini-thriller à l'humour grinçant ("Affaires de cœur") à une relecture hilarante de la Création du monde ("Genèse"), en passant par une vision glaçante de ce que donnerait l'application de la charia en Écosse ("La guerre contre les femmes"), nous retrouvons la plume ironique et poétique de Kate Atkinson, qui jette sur notre monde un regard tantôt impitoyable, tantôt émerveillé, avant de conclure sur une version très contemporaine de La Traviata...

Kate Atkinson sort les griffes et se révèle plus mordante que jamais : un livre où l'ironie le dispute à la méchanceté, et où le rire fait pleurer aux larmes. André Clavel, Lire.

Aucune embellie possible dans l'univers de la grande Atkinson ? Mais quel talent pour en rire ! Isabelle Lortholary, Elle.

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Kate Atkinson fait partie de ces auteurs dont je ne savais rien avant de devoir vendre leurs livres à longueur de journée. Bien sûr, j'avais déjà entendu son nom mais rien de plus... Oui oui, Hannibal, la petite libraire que je suis a dû apprendre pas mal de choses au début ;-) !
Et puis, à force d'échange avec mes client(e)s, je me suis dit qu'il fallait que je me laisse tenter. De plus, je n'ai jamais été déçue par quelque romancier britannique que ce soit !
Bref, j'ai attaqué par ce recueil de nouvelles... Et combien j'ai regretté de ne pas m'être lancée plus tôt !!!

Je n'ai pas aimé, j'ai a-do-ré !!!

La plume de Kate Atkinson est acerbe, et aussi tellement accurate. Oui, je ne sais pas pourquoi mais parfois, les mots me viennent en anglais... Je trouve que le mot en dit plus en anglais, que son sens est plus fin, plus précis dans la langue de Shakespeare... Je n'ai pas d'explication particulière à ça, ne cherche pas à me comprendre ;-) ...
J'ai tout particulièrement aimé la première nouvelle, Affaires de cœur, qui est d'une cruauté hallucinante et tellement brillante. Ainsi que La guerre contre les femmes, véritablement prenante, étonnante, flippante...
Les autres nouvelles sont légèrement inégales mais il n'en reste pas moins que l'impression d'ensemble est très bonne et c'est bien là l'essentiel.

Assurément, Kate Atkinson a gagné avec moi une lectrice de plus car j'ai depuis glissé bon nombre de ses ouvrages dans ma PÀL !

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samedi 19 février 2011

Des petits bouts de Prague


Nous avons vidé les poches et les sacs. Déchargé les cartes-mémoire dans Monsieur Mac. Remis les guides dans la bibliothèque.
Des cartes de visite, des sous-bocks, des billets d'entrée dans les musées, des tickets de métro ou de tram...
Je t'avoue que je ne sais pas par quoi commencer, Hannibal... :-S
J'ai tellement tout aimé à Prague que j'ai envie de tout te raconter en même temps ! Et, tu le sais, comme ma tête a une fâcheuse tendance à fonctionner au ralenti dernièrement, ça ne va pas être une mince affaire, je te le dis !!!

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vendredi 18 février 2011

Derrière la haine...


"La haine, c'est la colère des faibles."
Alphonse Daudet - Lettres de mon moulin

*** Illustration "empruntée" sur le net. ***

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Reflets praguois - Clic-clac #19


Juste une des innombrables merveilles découvertes dans la capitale tchèque !

Pour le clic-clac de Cricri.

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Ma petite Maman...


Ces quelques fleurs pour te souhaiter un très bel anniversaire.

Et pour te dire encore et encore combien je t'aime, combien tu comptes et combien j'ai conscience de tout ce que tu fais pour moi. Pour nous.

Puissions-nous encore avoir de très longues et nombreuses années de bonheur à vivre encore ensemble !

*** Photo "empruntée" sur le net. ***

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jeudi 17 février 2011

mercredi 16 février 2011

Les dix commandements du voyageur pour Prague


1. Pour préparer ton voyage, internet de long en large tu sillonneras.
D'en user et d'en abuser tu n'oublieras pas. Et tu auras ainsi la chance, comme nous, de trouver un séjour à un prix défiant toute concurrence, 150€ par personne nous concernant. 150€, ça sonne peut-être un peu dans ta tête comme "Médit'moipaksépavrai", mais tu le sais, sur ce blog je ne mens point. Et si, comme moi, tu as peur qu'à ce prix-là, il y ait une murène sous le rocher, tu continueras de te renseigner sur le net pour trouver des commentaires élogieux sur l'hôtel sélectionné, tu seras alors ainsi carrément rassuré(e).

2. Acheter plusieurs guides de voyage tu n'omettras pas.
Et ça, c'est à la fois la libraire qui maîtrise le secteur tourisme à fond et la voyageuse qui te le conseille. En effet, chaque guide a sa spécificité, du pratique, du culturel, du plus axé shopping à l'encyclopédie d'architecture, j'en passe et des meilleures, et en combiner au moins deux, c'est l'assurance de ne passer à côté de rien. Tu t'en doutes, ce conseil-là, il est valable aussi bien pour Prague que pour toute autre destination ! Nous, c'est toujours le problème de la libraire qui maîtrise etc etc... , on en avait quatre, rien que ça ;-) ! (Si tu as besoin de conseils, n'hésite pas, je serai toujours là, comme je n'exerce pas en ce moment, c'est toujours un plaisir de pouvoir le faire en "off" ! Tu noteras au passage, si tu connais un peu mon histoire perso, que mon employeur n'a peur de rien, et surtout pas du ridicule, en faisant la misère à la reine de la vente complémentaire que je suis... :-S)

3. Des chaussures de randonnée dans ta valise tu mettras.
Allez, je suis cool, si tu ne veux pas ressembler à un vieux montagnard, surtout si, comme moi, tu vas à Prague autour de la Saint-Valentin, tu pourras te contenter de chaussures de sport... L'important est d'avoir des semelles épaisses et "rembourrées" ;-) : il fait froid à Prague en février et les pavés, tu auras tôt fait de les détester si tu ne prends pas soin de tes pieds-pieds ! Enfin, c'est toi qui vois... Pit-être que tu comptes visiter Prague en minibus, comme nous en avons vu certains le faire... Pas notre truc en tout cas, chez les Camembert, le tourisme, c'est à pied !

4. Aucun bureau de change tu ne visiteras.
Il faut bien le dire, c'est relativement l'arnaque, les bureaux de change. Et puis, à moins de t'appeler AnneLaureT, tu as forcément une carte, bleue ou autre, qui te permet de retirer de l'argent à l'étranger. Calcule le coup, effectue peu de retraits, des gros de préférence, pour éviter au maximum les commissions, c'est du bon sens mais bon, tu me connais maintenant, j'aime bien enfoncer les portes ouvertes parfois ! Et puis, ça peut sembler évident, mais je te le dis quand même : pas de change au black dans les rues, tu éviteras ainsi bien des déboires.

5. Les transports en commun tu utiliseras.
Et si, comme moi, tu as connu le métro parisien, tout là-bas te paraîtra d'une simplicité déconcertante. Trois lignes de métro simplement, un ticket qui vaut l'équivalent de 70 centimes d'euro valable 30 minutes et pour 5 stations, à peine plus pour passer 1 heure et demie sous terre, moins de 3 minutes entre chaque rame et ce quelle que soit l'heure à laquelle nous ayons voyagé. Le centre de la ville historique est assez bien desservi. Et puis, si le métro ne s'arrête pas là où tu veux aller, tu as toujours le tram, c'est super sympa, le tram, ça te donne l'impression d'être un(e) vrai(e) praguois(e) ;-) ! Il y a aussi le bus mais là, il faut avoir le cœur bien accroché, la conduite est plutôt nerveuse dans les rues de Prague !

6. La grasse matinée tu éviteras.
Parce que, si l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, il n'y a pas que lui : la chance de pouvoir effectuer quelques visites sans les inconvénients de la foule aussi ! En même temps, quand je te dis tôt, je ne te parle pas non plus de 5 heures du matin... Mais je t'assure, quand, à la fin de la visite de la totalité du Musée juif de Prague, tu te retrouves cerné(e) par les touristes indélicats, peu respectueux des lieux, de la tradition, qui pinaillent parce qu'on leur demande de porter une kippa dans les lieux saints, tu te félicites vraiment d'être tombé(e) du lit !!!

7. Des cartes-mémoire et des batteries pour ton APN tu prévoieras.
Ben ouais, il y a tant de merveilleuses choses à voir dans la capitale tchèque que tes yeux ne suffiront pas ! Je l'avoue, j'ai été raisonnable, seulement 806 photos prises en trois jours, beaucoup moins qu'à Rome l'année dernière. Il faut dire que le temps, même s'il n'était pas dramatiquement mauvais, a fini par avoir raison de ma capacité à enfiler et retirer mes gants à chaque fois que je voulais prendre un cliché, c'est-à-dire toutes les 30 secondes à peu près.

8. À sans arrêt lever la tête tu t'habitueras.
Car oui, je dois le reconnaître, si la ville est magnifique "comme ça", à vue d'œil humain, c'est en l'air que tu découvriras de vrais trésors. Alors parfois, tu as la chance de les voir de loin, quand la perspective te le permet, sur les quais par exemple, mais le plus souvent, dans les rues étroites, tu n'as pas le recul nécessaire et rester les yeux vissés sur tes baskets, ça serait la meilleure solution pour passer à côté de splendeurs architecturales !

9. À boire de la bonne bière pas chère tu t'habitueras.
Hé hé, quand je dis "pas chère", c'est juste hallucinant en terme de rapport qualité-prix : un tout petit peu plus d'1€ pour une pinte, ça le fait ;-) ... Franchement, ça ne vaut pas le coup de t'en priver et je dois reconnaître que les quelques touristes égarés dans des gargotes typiquement tchèques et attablés devant des verres de Coca, j'ai trouvé ça con pour eux qu'ils ne goûtent pas à autre chose, un truc qui les change du fast-food du coin et de leurs habitudes quoi ! Et en plus, tu n'as presque pas d'excuse valable pour ne pas te laisser tenter, tout est prévu pour l'évacuation du trop-plein de liquide, on trouve des toilettes super propres absolument partout dans Prague.

10. N'importe quelle boutique de souvenirs tu ne visiteras pas.
Tu vas le voir, c'est un peu la plaie de la ville touristique : les boutiques cheap pullulent en centre-ville et c'est un cauchemar. elles vendent toutes les mêmes horreurs, de la chapka bidon, au magnet-décapsuleur, en passant par des figurines grossières en pseudo cristal. Le pompon, c'est la musique, cheap elle aussi, genre pop italienne ou russe d'il y a 10 ans, à fond à l'intérieur qui, du coup, se déverse à flots dans les rues... C'est classe ! Bon, évidemment, si ton budget te le permet, tu pourras te faire offrir une spécialité typiquement locale : de superbes grenats de Bohème montés en bague ou en pendentif mais si, comme moi, ce n'est pas ton cas, les boutiques des musées proposent un très beau choix à des prix franchement raisonnables et puis, il y a de jolis magasins de chaînes, Blue et Manufaktura par exemple pour ne pas les citer, où on trouve des tas de belles choses et où tu n'auras pas l'impression d'avoir gâché tes couronnes !

Bon... Ben... On va dire que tu es prêt(e), là ;-) !
Passe une bonne nuit, enfile les chaussures de rando aux aurores demain, je t'emmène... Euh pas aux aurores... J'ai comme qui dirait de la fatigue à récupérer !!!

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Euh... Là... J'atterris !


Bon, là, comme ça, à chaud et en vrac, je te dirais que Prague est une ville absolument magnifique, que nous avons eu froid, 'achement froid, mais qu'heureusement, le vin chaud réchauffe !
Que j'ai savouré là-bas, comme je la savoure chaque jour ici, la chance que j'ai d'être aux côtés d'un homme aussi merveilleux que mon Petit C.
Qu'il faut vraiment que j'achète une seconde batterie pour Mister Lulu.
Que j'ai dormi comme jamais.
Que la pinte de bonne bière à 1€, c'est trop cooooool !
Que le touriste français de base est véritablement une plaie. Même si l'Italien le suit de très très près.
Que j'ai adoré prendre le métro et le tram.
Que j'ai vécu à Prague un moment terriblement bouleversant, un de ceux que je ne pourrai jamais oublier, mais ça, je t'en parlerai plus tard en détail.
Que j'ai mis des barrettes dans les cheveux de mon Amoureux.
Que j'ai tripoté, sans savoir pourquoi et comme la plupart des touristes, bon nombre de statues du Pont Charles : il paraît que ça porte chance...
Que mes pieds et mes jambes ont des limites. Des petites limites :-O !
Que j'aime furieusement cette petite tradition du week-end amoureux de février que nous avons instauré dans notre jolie vie à deux.
Que mes yeux, ma tête et mon cœur n'en reviennent toujours pas de tout ce qu'ils ont eu à emmagasiner là-bas...

Je m'organise... J'oublie que nous avons retrouvé, à notre retour, notre maison dans un état lamentable, un de ces états dont seuls les adolescents ont le secret... Aussi que, dans ma ville natale, à 500 mètres de chez mes parents, on abat des hommes en plein centre-ville à 19h30... Bref, je passe outre, je range ça dans le petit placard à amertume de ma tête, et je me mets au boulot, je te fais plein de beaux articles pour te donner envie, à toi aussi, Hannibal, d'aller visiter Prague !

PS : Tu sais quoi...?!?... Tu m'as manqué ;-) !

*** Photo "empruntée" sur le net. ***

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samedi 12 février 2011

C'est parti !


Ce billet a été programmé parce qu'à l'heure qu'il est, nous sommes dans l'avion qui nous emmène vers Prague.
Retour prévu dans la nuit de mardi à mercredi !

Bon week-end, les amoureux !!!

*** Photo "empruntée" sur le net. ***

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vendredi 11 février 2011

Cap au nord...!


Ces petits paquets se sont envolés ce midi pour la Belgique et je croise les doigts pour qu'ils ravissent Charlotttee, ma swappée !

Clic-clic
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O sole mio - Clic-clac #18


Rome... Il y a un an...
Je l'avoue, j'avais dans l'idée de te montrer les cadenas accrochés par les amoureux du monde entier sur les ponts qui enjambent le Tibre. Au lieu de ça, je t'offre de lever la tête et de t'ébahir sur le jeu du soleil sur l'incroyable voûte du Panthéon.

Pour le clic-clac de Cricri.
Va lui rendre visite, tu comprendras pourquoi j'ai remballé mes serments d'amour ;-) !

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jeudi 10 février 2011

Le dernier voyage de Melissa...


Il n'est pas loin de 2 heures du matin.
Nous revenons à l'instant de chez le vétérinaire, avec mon Petit C.
Nous y avons accompagné Melissa pour son dernier voyage...

Melissa était le chat de mes parents, mon premier chat.
Elle était arrivée dans notre jardin parce qu'elle ne se plaisait pas chez les gens qui l'avaient adoptée... Après moult tergiversations, nous avions réussi, ma sœur et moi, à convaincre mes parents que sa place était parmi nous.
Elle nous a offert près de 20 années de bonheur, 20 années qui ont pris fin il y a quelques dizaines de minutes...

J'ai été obligée de dire adieu à mon chat-sœur.
 La mémère à chat a le cœur lourd ce soir...

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mercredi 9 février 2011

Phobie en fuite...? ☠☠☠ Be careful, mygale inside ! ☠☠☠

Aaahhh... Hannibal... Si on me l'avait dit, celle-là, je n'aurais pas voulu y croire, tu sais... pas voulu et, de toute façon, même pas pu...!


Hé hé... Si tu as peur, c'est un peu de ta faute, je t'avais prévenu(e) dans le titre !

Figure-toi que je nourris depuis toujours une peur panique et irraisonnée légère aversion pour tout ce qui a huit pattes et qui n'est pas un poulpe.
Qu'elles soient petites et communes, ou énormes et à priori "incroisables" sous nos latitudes, je hais les araignées !!!
Au point de ne même pas pouvoir m'en approcher pour les tuer... Au point d'avoir failli mourir quand des petits malins croyaient judicieux de me faire des "blagues à huit pattes"... Au point de ne pouvoir les voir même sur un écran de télévision ou d'ordinateur... Au point, tu le sais, de ne même pas passer te rendre visite sur ton blog si tu avais eu la bonne idée d'y causer tarentule ou épeire... :-S

Ça te fait sourire de loin, je le sais, mais je ne suis pas certaine que tu mesures l'ampleur du traumatisme...
Parce que tu n'as pas vu, toi, des dizaines de tarentules prendre le frais dans une piscine à la frontière du Nouveau-Mexique... Parce que tu ne m'as pas entendue hurler le jour où mon pied s'est posé sur un de ces même bestiole, de la taille d'une assiette plate... Parce que tu n'as pas ton sous-sol infesté de monstres octopodes, toi... Bref, parce que tu ne te la joue pas "flippouse" comme moi ;-) !

Alors, imagine quand, il y a quelques temps, Sandy a posté sur FB ses photos de Guyane.
Au milieu des palmiers, des îles paradisiaques, des fleuves traversant la forêt équatoriale, une mygale... J'ai bien cru que mon cœur allait s'arrêter de battre... Je me suis dit, bah non, là, ça ne va pas être possible... Je le lui ai même écrit, à Sandy, qu'elle était sur le point de me perdre, à l'autre bout de l'Atlantique... Qu'elle n'était pas bien, de me flanquer des trouilles pareilles... Que j'étais désolée, que je ne doutais pas que la Guyane puisse être un endroit merveilleux, mais que je n'avais pas besoin de ses photos pour en être certaine, ce qu'elle en disait me suffisait...

Et puis, c'est plus fort que moi, j'y ai risqué un œil, au monstre...
Bon, le spectacle devait valoir le détour, j'étais devant Monsieur Mac, une main devant les yeux, l'autre faisant se dérouler tout doucement la page... J'ai attaqué le problème par le bas... Et hop... Un centimètre de pattes... Tiens, c'est rigolo, ça a l'air tout doux... Cinq minutes pour m'en remettre... Enfin... Re-un centimètre de pattes... Ooohhh, et puis, c'est joli, ces dégradés de couleurs... Aaarrghhh... Dix minutes de respiration cette fois-ci...
Bref, je te la fais courte : j'ai vaincu mon démon !!!
La mygale, je l'ai regardée, re-regardée, montrée même et, alors que j'avais juré mes grands dieux que jamais, mais alors jamais, on ne m'y prendrait,  bah voilà, j'ai mis une mygale sur mon blog... Et, à moins que tu ne sois toi-même phobique, tu n'as pas idée du pas que c'est pour moi !!!

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Edit du 10 février, 7h02...

Qu'est-ce qu'on dit...?
Merci Sandy !!!

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Au secours, il veut m'épouser ! - Agnès Abécassis


Toutes les filles rêvent-elles de se marier ? Oui... Sauf celles qui l'ont déjà été !
Déborah vit avec Henri, son nouvel amoureux. de nature enjouée, elle a un caractère facile, si l'on excepte son goût pour les commérages intempestifs ou sa jalousie de pieuvre. Malgré tout, Henri le blagueur aime son impétueuse compagne. Alors, entre deux taquineries, il glisse des allusions sur le mariage.
Mais pour Déborah, plus question de rigoler. Le mariage, elle connaît. Où trouver, dans ce cas, des exemples rassurants ? Auprès de son amie Daphné, jeune mariée enceinte aux prises avec sa belle-mère horripilante ? Ou de Roxane, ancien top model tiraillée entre couches sales, mari pantouflard et nostalgie de sa gloire passée ?
Devant les vies exaltantes de ces femmes baguées, Déborah va-t-elle tout de même accepter la demande d'Henri ?

"On a beaucoup ri avec Les Tribulations d'une jeune divorcée. Ce nouveau roman est tout aussi joyeux et hilarant." Vivre au féminin.

"Nous, calés dans notre fauteuil, un thé fumant à la main, on rit beaucoup (...)." Elle Belgique.

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Depuis le temps que j'entendais parler d'Agnès Abécassis, il fallait que je me penche sur la question. En l'occurrence au moins sur l'un de ses romans pour pouvoir me faire une idée précise et, surtout, personnelle. Je connaissais l'auteur, en tant que personne, une adorable jeune femme, pétillante, lumineuse, pleine d'énergie, mais je ne l'avais jamais lue...

Bon, alors, pour tout te dire, ce n'est pas vraiment mon genre de littérature favori. Mais c'est frais, c'est mignon, c'est léger, ça se lit bien. Je me dis que j'aurais bien fait de le garder encore un peu dans ma PÀL, du genre jusqu'à l'été, oui, c'est ça, sous le soleil, sur la serviette, avec les doigts pleins de crème solaire, bercée par le bruit des vagues, ça doit sûrement le faire...

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mardi 8 février 2011

Oui, je suis une mémère à chat...

Et j'assume totalement !


 Je fonds littéralement devant mes boules de poils, mes parfaites petites compagnes... Je n'y peux rien, c'est mon côté chat-mallow...!


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lundi 7 février 2011

Saint-Valentin, week-end en Amoureux... Et en après-ski ;-) !

Samedi, nous partons à Prague pour quelques jours.
Alors, tu t'en doutes, Hannibal, je suis en train de me stresser sur les dimensions idéales de la valise-cabine, sur la galère du sac congélation dans lequel tu dois glisser tes affaires de toilette, sur le guide touristique que j'adore et dont le millésime 2011, qui devait paraître la semaine dernière, n'est pas encore en librairie...

Et tu sais quoi...?!?... J'ai eu une merveilleuse idée, histoire de faire un peu plus dans le positif : j'ai regardé sur internet la météo prévue là-bas pour le week-end prochain...


J'aurais pas dû :-D !!!

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Encore une tristesse...


Madame Andrée Chédid s'en est allée...


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La musique - True Colors #2


J'aime les disques et le boum du numérique n'y changera rien... Je continue chaque jour d'agrandir patiemment ma grande mon immense discothèque ! Et je ne me lasse pas de découvrir chaque pochette, dans les moindres détails, derrière les moindres couleurs.

Ceci est ma participation au True Colors de Nikit@.


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C'est lundi... Que lisez-vous ? #3

Lus la semaine passée :


À moi pour toujours, de Laura Kasischke.


The Anomalies, de Joey Goebel.


Cinquième étage, de Cyrille Audebert.

En cours :


Psycho, de Richard Montanari.

À lire cette semaine :



C'est pas le tout, mais y'a un week-end à préparer... ;-) !

Pour le rendez-vous hebdomadaire de Malou.


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