jeudi 27 février 2014

♫ Oui mais pas tout de suite... ♫ Pas trop vite... ♫ [Sponso]

Si tu es de ma génération, voire même de celle d'un peu avant, il ne t'aura pas échappé que le titre de ce billet n'est rien de moins qu'une phrase extraite d'une chanson mythique. Mythique et éminemment sensuelle, du genre à mettre le feu aux poudres. Et accessoirement au slip. Car oui, comme tu peux le constater, le fait que je sois sur le point de finir noyée dans les méandres de ma formation et que, du coup, je passe beaucoup moins de temps qu'auparavant à dire des bêtises en ces pages, tout ça ne m'a pas assagie pour autant. Manquerait plus que ça !
M'enfin, je ne suis pas passée par là ce soir pour te parler de ma rude vie de stagiaire, mais d'éjaculation précoce.


Parce que, dans le genre vecteur d'idées reçues à la peau dure, tendance peau de vieux dinosaure, je ne pense pas beaucoup me tromper si je dis que l'éjaculation précoce bat tous les records. Je dois le reconnaître, j'étais moi-même bien à côté de la plaque sur le sujet, forcément, je n'y ai jamais été confrontée. Alors, dans mon esprit, parfois un peu étroit, je le concède, éjaculation précoce rimait avec jeunesse et par conséquent inexpérience, pour ainsi dire exclusivement. Mais ça, c'était avant. Avant que je ne découvre que toutes les classes d'âge étaient touchées approximativement dans les mêmes proportions, à en croire les statistiques.
En contrepartie, ce que je comprends bien, c'est l'impact que cela peut avoir sur les relations de couple, et le cercle vicieux dans lequel cela nous fait rentrer. Un cercle vicieux où il est question de frustration, l'anxiété, la culpabilité et pour finir, le repli sur soi... Tout un tas de mots pour définir des sentiments dont on ne s'étonne pas, en y réfléchissant bien, qu'ils finissent par se nourrir les uns les autres.



Mais ça n'est pas une fatalité : l'éjaculation précoce n'est pas une vue de l'esprit, c'est un trouble médical, réel, et reconnu comme tel. Et comme tous les troubles médicaux, il a des causes, certes, mais aussi et surtout il peut être soigné ! Il suffit pour cela d'en parler.
Si tu hésites, que tu sois toi-même concerné, ou ton partenaire, tu peux toujours te rendre sur Garderlecontrôle.fr. Un site qu'il est chouette et qu'il a surtout été créé pour aider ceux qui sont touchés, ou qui souhaitent tout simplement comprendre : il est rempli de conseils, il te propose des solutions, en un mot comme en cent, il t'aide à dédramatiser, il t'aide tout court !!!


Comme ça, la prochaine fois, c'est à deux et en même temps que vous vous enflammerez...!


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mercredi 26 février 2014

Comme une berceuse... From Sheep To O.


Parce qu'il y a des découvertes que j'ai envie de partager avec la Terre entière, encore un petit peu plus, je l'avoue, lorsqu'elles sont caennaises. Parce que cette voix... Parce que cette atmosphère... Je suis totalement sous le charme, comme envoûtée et même un petit peu plus encore.
Et parce que, si tu es dans le coin demain en fin de journée, elle est en apéro-concert au BBC, on s'y retrouve si tu veux !

Bonne nuit !

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dimanche 23 février 2014

Découpage, chocolat et pâquerette

Ma semaine en Instagram #71

Dimanche

Sotchi en bruit de fond, un verre de blanc et un gros exercice de compta : après-midi paisible en Normandie du Bas. Le déclic a eu lieu, même les subventions et les virements internes ne m'ont pas effrayée... Enfin, pas trop ! Je me suis fait une montagne de cette matière, les premières heures ont même été des plus difficiles. Et puis, à force de m'accrocher, aussi grâce au prof qui nous a rassurés en nous racontant ses débuts difficiles, ça commence à rentrer.

Blanc et compta : les ingrédients de mon dimanche après-midi.


Lundi

Le cours de communication a été des plus épiques : il s'agit de créer une affiche pour un spectacle, un festival, un évènement de notre choix, existant ou non. Mais de la créer "à l"ancienne", sans le moindre recours à tout ce qui ressemble de près ou de loin à une nouvelle technologie. Résultat des courses, après avoir formé des groupes de trois personnes, nous avons déchiré, dessiné, découpé, collé et j'en passe, l'affiche en question n'est à ce jour pas encore terminée mais elle prend tournure. Je la trouve plutôt réussie, mes deux petits camarades sont, eux, plus circonspects, mais j'ai confiance : on devrait arriver à décrocher une note pas trop mauvaise !

Atelier dessin-découpage-collage ici aujourd'hui !

Mardi

Oui, ça n'a pas l'air comme ça, mais la vie est dure pour mes trois minettes. Penses-tu, elles n'ont eu cette dernière semaine, personne à emmerder tout au long des leurs paresseuses journées... Elles trouvent le moyen de ronchonner quand je pars le matin, mais peinent à sortir de leur sommeil à mon retour. Et évidemment, ont un regain d'énergie au moment où moi, j'irais bien me coucher. De vraies petites crapules...!

Trop dure ma vie !!!

Mercredi

Un mercredi riche en émotions ! Y'avait interro de droit cet après-midi, ça a été un vrai sketch... Le prof (qui est aussi notre prof d'histoire du théâtre) nous distribue les copies, on lit, on se regarde les uns les autres par-dessus nos lunettes, derrière nos franges, on soupire, on lui dit qu'on ne comprend rien, on fait des zéros avec nos doigts en se marrant (jaune, hein, tu l'auras compris), il nous demande de faire ce qu'on peut, nous assurant qu'il ne nous massacrera pas sur les notes et puis, ma cops Nathalie rend sa copie, à cinq minutes de la fin du temps qui nous était imparti... Là, on entend un tonitruant : "Mais qu'est-ce que j'ai fait...? Je ne vous ai pas donné les bons sujets...!!!"... Si t'as jamais entendu un soupir poussé en cœur par douze personne, tu ne peux pas t'imaginer la lame de fond à laquelle ça ressemble.
Pour la peine, sur le chemin du retour, je me suis offert une douceur. Moi qui n'aime pas le chocolat, je me suis achetée une tablette du seul pour lequel je suis prête à faire un effort : au lait avec des noisettes et du raisin. Ça m'a fait un bien fou !!!

Le seul chocolat pour lequel je suis prête à faire un effort.

Jeudi

#bleu... C'était ma mission du jour. Pas évident parce que, pour le coup, mon bleu préféré, celui de Ses yeux, il a été tenu éloigné de moi toute la semaine pour cause de déplacement professionnel en province.
Mais bon, j'ai eu la chance de faire le trajet du retour du soir sous un soleil resplendissant et par conséquent un ciel tout bleu. D'un si beau bleu qu'il aurait été dommage de ne pas l'immortaliser.

Rentrer à la maison sous un joli ciel #bleu !

Vendredi

J'ai trouvé dans ma boîte aux lettres une copie intégrale de mon acte de naissance. Je n'en finis plus de savourer les progrès techniques qui font qu'obtenir un tel document est aujourd'hui simplifié à l'extrême : tu te connectes au site du service public, tu sélectionnes la mairie à laquelle tu souhaites t'adresser, tu fais ta demande et hop, deux jours après, le truc arrive chez toi. Pour un coup qu'il y a quelque chose qui fonctionne bien dans l'administration française, ça mérite vraiment de le souligner, tu ne crois pas ?
En plus, ce papier, j'en ai besoin pour un bien joli projet, alors je suis d'autant plus heureuse de l'avoir entre les mains !

Avoir de jolis projets...

Samedi

C'est fou : un grand soleil, de la douceur en-veux-tu-en-voilà, les merles qui chantent soir et matin, les crocus tout fleuris dans les plates-bandes municipales, le cerisier des voisins rempli de pompons en formation et la première pâquerette dans notre jardin. On vient tout juste de passer la mi-février qu'il flotte déjà comme un goût de printemps dans l'air ! Je devrais peut-être m'en méfier mais j'ai au contraire choisi d'en profiter : après avoir déjeuner à l'extérieur hier midi, j'ai ouvert les baies vitrées en grand cet après-midi pour siester devant le slalom masculin des JO dans le bon air, pour un peu, j'aurais mis mon linge à sécher dehors... M'enfin, ce qui est pris n'est plus à prendre ! ;-)

Comme un air de printemps

Je te souhaite de passer une bien belle semaine.

*** Pour Madame Parle et Confidences de Maman, et aussi évidemment pour VirginieB. ***

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samedi 22 février 2014

Une lecture farfelue

À la base, ce n'est pas la lecture en elle-même qui est farfelue mais les lois dont il est question dans ce petit ouvrage joliment illustré par la talentueuse Tamagochan, blogueuse mémèràchat s'il en est mais surtout et avant tout génie du crayon ! Un florilège de grandes fantaisies légales comme l'annonce la quatrième de couverture. C'est juste un régal !!!

Tu ne seras peut-être pas étonné si je te dis que j'ai remarqué que la plupart de ces lois nous venaient des États-Unis. On a l'impression qu'il y a surenchère de délire d'un état à l'autre. Allez, pour le plaisir, sache que, dans le Kansas, il est interdit de lancer un couteau sur des personnes vêtues d'un tee-shirt à rayures et que, dans l'Indiana, on ne peut pas payer pour assister au récital d'un pianiste manchot. Ouais, rien que ça !
Mais je te rassure, nous, on n'est pas en reste de notre côté de l'Atlantique. C'est d'ailleurs la méga-louse pour les soucoupes volantes qui veulent se poser en Avignon : ça leur est interdit. Quant à la loi sur le port du pantalon par les femmes, le rappel est probablement nécessaire parce que, oui, aussi anachronique puisse-t-elle paraître, elle est bien toujours en vigueur... :/
En tout cas, je me suis délectée : ce petit ouvrage a tout d'un divertissement parfait.

*** Une lecture farfelue que je partage aujourd'hui avec toi, Virginie ! ***

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mardi 18 février 2014

En vrac #108



Qu'on se le dise : quand je veux quelque chose, je l'obtiens toujours, j'aimerais que ça marche aussi pour les stages !!!
Une semaine sans mon Chéri, j'aime pô...
 Je prendrais bien un bon bain chaud à la lueur des bougies, moi !
À la recherche d'un top tatoueur sur Caen ou la région, si tu as un nom pour moi, je suis preneuse.
Si tu savais comme j'en ai marre, d'être bordélique...
Dans dix jours, si tout va bien, je suis à Budapest, hâââte !!!
Me bloquer le dos en m'attachant les cheveux, ça, c'est fait.
Ça fait bien longtemps que je n'ai pas vu mes parents, et ce n'est pas près de s'arranger au train où vont les choses.
Kiffe vraiment certains de mes petits camarades de formation.
 Je ne me lasse pas de regarder les superbes roses que mon Amoureux m'a offertes pour la Saint-Valentin.
Recevoir des tas de photos et de films des premiers pas de mon niéçou en ski, j'adore, merci à son Papa !
Bon bah, je te laisse, j'ai un gâteau d'anniv' à préparer.

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dimanche 16 février 2014

Comme une berceuse... Obstacles


Parce que... Non... Rien... Juste ferme les yeux. Et laisse-toi emporter...

Bonne nuit !

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Bureau, antipasti et colombages

Ma semaine en Instagram #70

Dimanche

Révisions toute la journée, devant le rugby à la télé en fin d'après-midi. Un dimanche que j'ai terminé en préparant une quiche poireaux-chèvre pour le repas de demain midi. Oui, je nourris mes petits camarades lundi ! Et à mon avis, on va se régaler !

Mioum la quiche poireaux-chèvre préparée pour demain midi...

Lundi

Un ciel magnifique ce soir, au retour du centre de formation. J'ai hésité un moment à prendre mon appareil-photo et filer en direction du bord de mer, la lumière était tellement belle qu'elle promettait un coucher de soleil d'exception. En plus, mon Chéri était en déplacement, pas d'horaire particulier à respecter du coup.
Et puis, un fois posées mes godasses dans mon entrée, une phénoménale flemme s'est emparée de moi : jamais je n'ai pu repartir... Je ne te dis pas les regrets quand j'ai vu le ciel au loin s'enflammer... :/

Quel spectacle ce doit-être en bord de mer !

Mardi

Marre du b*rdel sur mon bureau, mon Bordélique Bureau de Blogueuse si, comme moi, les acronymes t'intriguent ! Du coup, j'entame aujourd'hui un grand rangement, je n'imagine même pas combien de temps ça va me prendre. La seule certitude, à la fin, je serai assise à un Bureau Rangé de Stagiaire de la Formation Professionnelle... Mais y'a du boulot !!!

Attassion... Mon BBB va se transformer en BRSFP...!!!! :p

Mercredi

Ma Boîte à Beauté est enfin arrivée... Je n'en pouvais plus, je voyais mes copines s'extasier devant son contenu un peu partout sur les réseaux sociaux et, chez moi, toujours rien. Inutile de préciser que je me suis jetée dessus en rentrant à la maison ce soir et qu'une fois de plus, je la trouve top de chez top. D'ailleurs, je t'en parlerai la semaine prochaine.
Mais je n'ai pas pu attendre en y découvrant cette merveille de rouge : il a instantanément fini au bout de mes ongles et j'en suis ravie.

Ooohhh, un petit nouveau...!

Jeudi

Le jeudi, c'est anglais. C'est dur, c'est long, je m'y ennuie profondément. Je ne désespère d'ailleurs toujours pas de pouvoir y échapper, j'y travaille en tout cas.
Ce n'est pas Catherine, notre prof, qui est en cause, bien au contraire, elle est vraiment sympa et, comme elle est à peine plus âgée que moi, nous avons tout un tas de choses en commun, nous ne nous gênons pas pour les partager. Seulement, nous n'avons pas tous le même niveau et il lui faut bien s'adapter aux plus faibles.
Cela dit, bons en anglais ou pas, on s'est bien amusés à beugler Yesterday à la fin du cours, ça changeait, c'était sympa.

Kiffe les cours d'anglais qui se terminent en chanson !

Vendredi

Saint-Valentin toute calme cette année : un joli bouquet de roses qui m'attendait à mon retour à la maison. Que j'ai échangé contre un bien modeste cadeau, un livre, mais je savais qu'il lui ferait plaisir. Et dans le même temps, nous n'avons pas besoin de ce jour-là pour nous dire que nous nous aimons.
Concernant le repas, nous nous sommes régalés avec ce que Mademoiselle A. l'a aidé à choisir chez le traiteur italien : une tuerie !!! Antipasti, lasagnes et panna cotta... Juste par-fait !

Antipasti de Saint-Valentin
Samedi

Aujourd'hui, virée avec mon Petit C. à Pont-l'Évêque : repérage des lieux pour mon projet de fin de formation. J'y étais déjà allée, il y a bien longtemps, avec ma tante, du temps où je passais mes vacances d'été à Trouville, mais autant te dire que je ne m'en souvenais que très peu.
Je suis tombée sous le charme des maisons à colombages, de la petite place devant l'ancien tribunal, du minuscule cinéma qui fait aussi office de théâtre, de la très belle église... Et puis, j'ai essayé de porter un regard professionnel sur les lieux et là, à part planter un grand chapiteau dans l'immense champ qui borde la Touques, les idées n'ont pas réellement fusé.
Mais bon, j'en suis quand même revenue avec une cinquantaine de photos, peut-être m'aideront-elles à avancer.

Virée de reconnaissance à Pont-l'Évêque

*** Pour Madame Parle, secondée par Bullabébé cette semaine, et Virginie B. ! ***

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samedi 15 février 2014

Comme une berceuse... Stick me in my heart


 Parce qu'elle m'a sauté aux oreilles dès la première écoute et que je ne sais expliquer pourquoi mais, près d'un an et demi plus tard, c'est presque encore plus fort. Parce que j'aime ce qui s'en dégage, un genre de douceur terrifiante, qui cache des mots d'une grande violence, d'une noirceur absolue. Parce la voix de Pollard est juste... waouh... Parce que... Archive, quoi !!! Et parce que, du coup, elle a ces jours derniers, le privilège de tourner en boucle dans la voiture.

Bonne nuit !

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Brrrrrrrrrrr...

Thème du mois : le froid ou le chaud

En retard, oui, je sais, et je m'en excuse !
D'ailleurs, je ne te donne pas rendez-vous le mois prochain puisque j'ai décidé de suspendre ma participation à ce chouette rendez-vous le temps de ma formation... Je préfère me concentrer dessus, quitte à délaisser certaines petites choses sympas de mon quotidien, mon blog en faisant malheureusement partie. À très vite !

La Photo du Mois, c'est aussi chez A'icha, Agathe, Agnès, Akaieric, Alban, Alexinparis, Alice Wonderland, Angélique, Ann, Anne, Annick, Arwen, AurélieM, Ava, Béa, Bestofava, BiGBuGS, Blogoth67, Calamonique, Cara, Cécile - Une quadra, Cécile Atch'oum, Cekoline, Céline in Paris, CetO, Champagne, Chat bleu, Chloé, Christophe, Claire, Claire's Blog, Crearine, Cricriyom from Paris, Cynthia, Dame Skarlette, DelphineF, Djoul, Dr. CaSo, dreamtravelshoot, E, El Padawan, Elodie, Elsa, eSlovénie, Eurydice, Fanfan Raccoon, Filamots, FloRie, François le Niçois, Frédéric, Galinette, Gilsoub, Giselle 43, Gizeh, Grenobloise, Guillaume, hibiscus, Homeos-tasie, Hypeandcie, Ileana, Isa de fromSide2Side, Isa ToutSimplement, Isaquarel, J'adore j'adhère, Joane, Josiane, KK-huète En Bretannie, Krn, La Dum, La Fille de l'Air, La Messine, La Nantaise à Paris, LaRoux, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Les bonheurs d'Anne & Alex, LisaDeParis, Louisianne, Lucile et Rod, Lyonelk, magda627, Mahlyn, Mamysoren, Maria Graphia, Marie, Marie-Charlotte, Marmotte, MauriceMonAmour, Mère débordée, Mes ptits plats, Mimireliton, MissCarole, Morgane Byloos Photography, Nicky, Nie, Oscara, Pica Moye, Pilisi, Pixeline, princesse Emalia, Proserpinne, Renepaulhenry, Rythme Indigo, Sailortoshyo, scarolles-and-co, SecretAiko, Sephiraph, Stephane08, Sylvie, Tataflo, Testinaute, Thalie, The Parisienne, The Singapore Miminews, Thib, Ti' Piment, Trousse cadette, Tuxana, Un jour, une vie, Une niçoise, Vanilla, Violette, Viviane, Woocares, Xoliv', Zaza.

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Edit de 16h55...
Tellement pressée de réparer mon oubli que j'en ai zappé les quelques explications qui suivent d'ordinaire ma photo. Il s'agit du muret qui entoure notre jardin, qui goûte bien aux joies de la neige depuis plusieurs hivers. Et par chance, parfois, cette neige est même accompagnée d'une bien jolie lumière, à dominante rose, qui la fait passer du blanc au bleu. La neige, une matière fascinante s'il en est !

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jeudi 13 février 2014

Dix ans déjà !

Le temps passe. Tellement vite que j'ai parfois l'impression de m'en rendre à peine compte. Du coup, il y a un anniversaire que j'ai oublié de fêter. Pourtant, c'est un anniversaire important pour moi, un anniversaire qui me remplit de la plus grande des fiertés. Penses-tu, moi qui ne me sens jamais vraiment capable de faire des trucs bien, celui-là, les années ont beau passer, ça restera comme mon Everest à moi : il y a dix ans, j'ai arrêté de fumer, je l'ai évoqué dans ces mêmes pages il y a quelques mois..


Te dire que ça s'est fait dans la joie serait mentir, ça a même été un p*tain de calvaire. Je me souviens notamment d'avoir dû batailler sévère contre d'ignobles envies de meurtre à force de devoir supporter le clopage intempestif de mon beau-père de l'époque au lendemain de cette grande décision : insupportable dans le genre irrespectueux. Et puis aussi du premier week-end qui a suivi au cours duquel je crois bien que j'ai bouffé tout ce qui se trouvait dans mon frigo, avant d'attaquer le contenu des placards... Pour un peu, je ne me serais pas tenue sur la fin, les croquettes des chats y passaient aussi...! Ouais, ça n'a pas été simple, j'ai joué dans la cour des grands irascibles pendant quelques semaines au début !

Et puis, très rapidement, sont apparus des petits signes qui avaient bien plus de sens que le manque : retrouver le goût des aliments, sentir l'odeur du pain rien qu'en passant devant la boulangerie, savourer, sentir, respirer... Tous ces trucs que je n'avais jamais cessés de faire mais qui avaient perdu tout leur sens pendant mes années de fumerie. Les draps propres, l'odeur toute douce de la fourrure du chat, les fleurs, tout ça m'a pété au nez, c'était bon, j'avais oublié à quel point c'était bon !!! Quant à la sensation d'essoufflement au moindre effort, d'oppression dans la cage thoracique, parfois même jusqu'à la douleur, je ne te dis même pas où elle était reléguée... Aux oubliettes !

Et tout ça, comme ça, sans rien. Sans aide extérieure je veux dire. Par la seule force de ma volonté. Je n'en reviens toujours pas aujourd'hui d'avoir réussi. J'avais essayé des dizaines de fois, j'étais passée par bien des trucs, soit-disant miracle pour certains, mais ça s'était toujours soldé par un échec. J'aurais d'ailleurs adoré que la Ecig-Arrete existe à l'époque, quand je vois le soutien qu'elle constitue aujourd'hui pour certaines personnes de mon entourage, je suis certaine qu'elle m'aurait bien aidée. Mais bon, les choses sont faites, et bien faites, perso, je n'ai plus à revenir dessus.
*** Cela dit, je reviendrais volontiers sur la grosse dizaine de kilos qui se sont installés sur moi en loucedé au cours de cet exploit, le seul point noir de mon exploit perso ! ***

Tout ça pour te dire que, si tu hésites toi aussi à arrêter, je ne peux que t'encourager à le faire : il n'y a que du mieux tout au bout du chemin, je t'en donne ma parole.
Pour le coup, histoire de joindre l'utile à l'agréable, et jusqu'au 28 février, si tu as choisi de t'aider d'une cigarette électronique, tu peux même participer  à un chouette concours : tu t'inscris , tu partages une photo de toi en train de vapoter, tu invites tes amis à voter et tu feras peut-être partie des cinq heureux gagnants qui se verront attribué un bon d'achat de 25, 30, 70, 125 et même 200€. Largement de quoi te permettre de mettre le tabac derrière toi pour de bon !


Alors, tu te lances...?

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mardi 11 février 2014

Comme une berceuse... Angel


Parce que, dans le genre à faire venir des idées inavouables, celle-ci, elle se pose là... Je ne sais pas, peut-être est-ce la fatigue...! Parce que son côté lancinant est, hélas, assez représentatif de ce qu'il y a dans ma tête en ce moment. Comment on dit, déjà...? Ah oui : que ça ira forcément mieux demain...!

Bonne nuit !

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lundi 10 février 2014

En vrac #107


Comme une furieuse envie de me mettre à l'urbex...!
L'avantage de passer la journée assise, c'est qu'on peut ressortir les chaussures à talons et ça, ça fait bien plaisir.
Elle déboîtait grave, ma quiche poireaux-chèvre !!!
C'est effarant le nombre de personnes qui prennent les articles du Gorafi pour argent comptant...
L'impression qu'enfin, la fatigue me lâche un peu.
 Mon Chéri a réussi à jeter tous les journaux que j'avais gardés pour mon cours de com' de demain... :/
Kiffe les nanas qui mettent des décolletés jusqu'au nombril et s'étonnent que des tas de mecs fourrent leur nez dedans.
 Il faut absolument que je refasse mon CV.
'Tain, mais comment elle a atterri dans mes favoris YouTube, Joyce Jonathan...???
 La semaine prochaine, je reprends la route avec ma Miss KK, elle n'a pas roulé depuis trop longtemps.
J'ai pas l'air comme ça, mais il semblerait que je commence à vraiment comprendre la compta.
Toute seule ici ce soir, je sens que ça va se finir très tôt sous la couette avec un bon bouquin !

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Si je pouvais revivre ça...


Si je pouvais revivre ça, je m'installerais à un coin de table avec lui, pendant une réunion familiale, nous parlerions pendant des heures, à notre façon, avec nos mots, comme nous l'avons si souvent fait pendant les presque six ans où il m'a accompagnée, mon Pépé muet.

Si je pouvais revivre ça, je repasserais une après-midi avec ma drôle de compagne d'enfance, celle qui a supporté des après-midi entières des jeux que ses congénères n'auraient pas supporté dix secondes, et encore, je suis large... Oui parce que, quand j'étais môme, ma copine du mercredi, c'était une pie !

Si je pouvais revivre ça, je ne casserais pas tous ses jouets, je ne virerais pas les petites roues de son vélo avant de la lâcher dans la descente de garage, je ne grimperais pas dans le landau de sa poupée... En un mot, je ravalerais ma jalousie d'aînée et je serais bien plus gentille avec elle, ma sœurette.

Si je pouvais revivre ça, je rechanterais du Michel Sardou à tue-tête dans la voiture sur la route des vacances, la nationale, parce que l'autoroute, c'est trop cher. On s'arrêterait pour dormir quelques heures entre Grenoble et Gap, on achèterait une tarte du Champsaur juste avant d'arriver et je piaillerais pendant trente secondes, uniquement histoire de me faire remarquer, parce que se baigner dans de l'eau à 17°, c'est vraiment crop crop dur !

Si je pouvais revivre ça, je bosserais un peu au lycée. Enfin, un peu plus. Mais bon, les copines, les soirées et surtout les garçons, c'était vachement plus intéressant. Une chose est sûre : jamais je ne me serais embarquée dans une voie scientifique, l'expérience m'a montré que c'était tout sauf fait pour moi.

Si je pouvais revivre ça, je dormirais à la belle étoile encore et encore, je savourerais ces incroyables nuits d'août sous un ciel magique, les frissons, les émois, là-haut, dans la montagne.

Si je pouvais revivre ça, je reviendrais préparer des terrines, des gâteaux, une blanquette de veau avec celle qui est et restera la plus belle personne qui ait traversé ma vie, elle me manque chaque jour depuis plus de vingt-trois ans maintenant. Je sais que sans elle, je ne serai plus jamais entière.

Si je pouvais revivre ça, je renoncerais à essayer de comprendre. Et du coup, je ne gâcherais pas mes vingt-cinq ans dans les larmes, à tenter de récupérer et de réparer un par un chacun des morceaux de mon cœur brisé.

Si je pouvais revivre ça, je crois bien que j'allumerais des bougies et que je glisserai ce CD d'Alanis Morissette dans le lecteur... "The moment I let go of it was the moment I got more than I could handle"... Inavouables moments !!!

Si je pouvais revivre ça, j'ouvrirais à nouveau cette porte un soir de décembre, et comme je l'ai fait ce soir-là, je refuserais les excuses, les regrets, la proposition de tenter de repartir de zéro... Mais je ne passerais pas plus de dix ans à le regretter : tout ce que j'ai fait et dit à ce moment, c'est ce qui m'a menée ici aujourd'hui. Et je ne veux être nulle part ailleurs.

Si je pouvais revivre ça, je profiterais de cette dernière soirée passée avec elle, c'était le mariage de ma sœur, je savourerais encore ces éclats de rire partagés, je la serrerais fort dans mes bras et lui dirais combien je l'aime. Et je ne voudrais pas plus réaliser que je ne l'ai fait à ce moment-là que c'était la dernière fois que je la voyais.

Si je pouvais revivre ça, je revivrais les départs, les échecs, les espoirs, les erreurs et les peines, ces neuf mois qui ont changé ma vie à tout jamais. Neuf mois pour me délester d'une existence où je m'étais abîmée, dans laquelle je m'étais perdue surtout, peut-être les neuf mois parmi les plus difficiles que j'ai eus à vivre, mais quelle fierté d'avoir réussi à me redresser après les avoir traversés !

Si je pouvais revivre ça, j'écouterais à nouveau ces mots magiques, un soir, dans l'effervescence d'une gare, ces mots qui m'ont enchaînée puisque j'ai su instantanément que je ne pourrais jamais oublier celui qui les avait prononcés. Ces mots qu'il me dit encore si souvent aujourd'hui.

Si je pouvais revivre ça, je prendrais soin de moi, j'écouterais mon corps, je ferais passer ma vie perso avant le travail, et alors peut-être que je ne l'aurais pas perdu, ce bébé qui poussait en moi, cet Héritier tant espéré...

Si je pouvais revivre ça, je plaquerais tout et n'attendrais pas quinze jours avant de faire la connaissance de la plus merveilleuse des petites filles de la Terre, mon niéçou d'amour. Mais, dans le même temps, je donnerais tout pour revivre l'instant magique du premier regard que nous avons échangé, un regard qui m'a chavirée d'amour comme jamais.

Si je pouvais revivre ça, je ne laisserais personne me dire que je ne suis pas celle qu'il faut que je sois, je ne courberais pas l'échine et je prendrais mon plus beau sourire pour leur dire combien je les emm*rde, qu'ils peuvent toujours tenter de me briser, moi au moins, je pourrai jusqu'à la fin des temps me regarder droit dans les yeux dans un miroir.

Si je pouvais revivre ça, tout ça, je le ferais le cœur et les yeux immensément ouverts. Pour me nourrir jusqu'à m'en gaver de ces présences si précieuses, de ces moments où les sentiments et les sensations sont plus puissants que le plus puissant des ouragans.
Si seulement je pouvais revivre tout ça...
Et puis, en y pensant, je me dis que je suis très bien où je suis. Comme je suis. Maintenant. Que c'est tout ça, toutes ces choses que j'imagine pouvoir revivre en les écrivant à ce moment précis, toutes ces petites choses et peut-être même un peu plus, qui font celle que je suis aujourd'hui. Et que même si je ne la tiens pas en très haute sympathie, y'a probablement bien pire, comme compagnie...

*** Sur une idée de Madame Parle. ***

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Photo We♥It.

dimanche 9 février 2014

Chorégraphie, dix-neuf et vitamines

Ma semaine en Instagram #69

Dimanche

Une jolie journée ensoleillée. Pas vraiment très active pour autant. Mais nous l'avons terminée au CCN de fort belle façon. J'avais gagné dans la semaine des places pour aller y voir Eric Lamoureux et Thierry Thieû Niang danser, un duo d'une grande sensibilité qui nous a laissés complètement éblouis. Je dis "nous" parce que j'y avais embarqué mon Chéri, qui est toujours partant pour ce genre de découverte, et que nous y avons retrouvé l'un de mes petits camarades de formation et son compagnon. Un très joli moment que je suis donc ravie d'avoir partagé.
Je me dis que nous avons vraiment une chance inouïe d'avoir toutes ces possibilités offertes à nous, que la culture est vraiment à notre portée, encore même bien plus qu'en région parisienne puisqu'on est ici loin des soucis de transport, des prix exorbitants des billets d'entrée et j'en passe. Du coup, je me suis promis de bien plus en profiter.

Grand moment de danse

Lundi

Journée blanche. Je te passe les détails, les raisons et tout et tout, mais c'est dans un état lamentable que je suis rentrée le soir. Même pas eu le courage de réviser mes notes de sécurité pour l'interro de demain, je ne pourrai que compter sur le travail que j'ai fourni jusque là. Quand on sait à quel point je peux douter de moi, ça laisse super songeur quand même !
Au moment de me glisser dans mon lit, j'ai quand même voulu sacrifier à mon rituel de la lecture du soir et là, je suis tombée bien bas... Mouais, j'ai ouvert un bouquin d'une légèreté à toute épreuve, tellement léger même que je me souviens tout juste de son propos quelques jours après.

Lecture légère, qui sera vite oubliée

Mardi

Le jour de la première évaluation est enfin arrivé. Tu sais, le genre de truc que tu attends avec une impatience teintée de crainte... Disons-le tout net, c'est dans la plus grande angoisse que je suis arrivée au centre de formation ce matin. Je ne vais pas te refaire le coup du "je n'ai pas confiance en moi, je suis sûre que je suis nulle, de toute façon, j'ai toujours été nulle", ça, tu le sais, c'est en moi, j'espère que ça ne le sera pas toujours, mais bon, pour l'instant, il faut bien que je vive avec.
Alors tu penses bien que, quand j'ai rendu ma copie après deux petites minutes alors que trois quarts d'heure nous étaient alloués pour la remplir, j'ai flippé sévère. Ouais, tu as bien lu, deux minutes, je me suis juste relue une fois, rapidement, le plus rapidement possible en fait, histoire de ne pas avoir à changer d'avis au sujet d'une réponse ou d'une autre.
Et ça a payé... 19/20... Je peux te dire que ça faisait un paquet d'années que je n'avais pas décroché une note comme celle-là !!!

Il se peut que je ne m'en remette pas !!!

Mercredi

Une matinée à patauger dans les acronymes au centre de formation, un coup de fil pour finalement devoir mettre une croix sur le super-stage-de-la-mort-qui-tue-sur-lequel-je-comptais-grave, un après-midi de gamberge pour me remettre en selle, des révisions, des révisions, des révisions... Le tout sous la pluie.
Et pour être honnête, la pluie, elle est un peu aussi dans ma tête en ce mercredi. J'espère juste que cet état ne sera que passager.

Temps de m*rde...

Jeudi

Dur dur ! J'ai été malade toute la nuit, la fièvre, la migraine, la totale quoi. Mais je vais en cours. Surtout parce que je sais que ce soir, je rentrerai à la maison avec mon sujet de mémoire. Enfin ! J'ai jonglé entre les pastilles pour la gorge, les vitamines et la café pour tenter de me maintenir un minimum éveillée, ça s'est fait dans la douleur mais ça s'est fait.
Mais le meilleur, ça a quand même été ce moment passé à discuter au café avec ma copine Morgane. Il est toujours un peu tôt pour dire ce genre de chose, et si tu me connais, tu sais combien j'ai tendance à éviter de le faire, mais tant pis, je le dis : je pense qu'elle fera partie des jolies rencontres que m'aura apportées cette formation. Elle en fait déjà partie. Le truc, c'est que le café, on n'y était pas allées pour se raconter nos vies, mais pour bosser quand même un peu...! :p

Fatigue + grippette = dure journée... Merci les #vitamines ! #igdefi

Vendredi

Bon, rebelote : mille fois dans la journée j'ai cru décéder. Du nez, de la gorge, du cerveau un peu aussi. Le droit n'a pas pu grand chose pour me maintenir éveillée... Ouais, je sais, de ce point de vue-là, ma semaine a été des plus passionnantes.
Du coup, le soir, j'ai fait un truc que je n'aime guère faire : j'ai cédé aux envies de malbouffe de mon Chéri. Oui, je sais, c'est mal. Mais c'est comme ça !

C'est mal mais y'a des soirs comme ça... :/

Samedi

Nouvelle lubie de Mademoiselle A. : la cuisine du monde du samedi. Aujourd'hui, c'était Asie. Ce qui en soi n'était pas pour me déplaire, vu le menu du dîner d'hier soir. Du coup nous avons mangé à la fois des rouleaux de printemps et des makis, le tout fait-maison, sinon, c'est pas drôle. Moi, à part manger, je n'ai pas fait grand chose, elle s'est occupée de tout avec son père. En tout cas, on s'est ré-ga-lés ! Au programme de notre prochain samedi-cuisine-du-monde : l'Inde, je te raconterai !

Le mioum homemade du soir

*** Pour Madame Parle et Virginie B. ! ***

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samedi 8 février 2014

Comme une berceuse... Space oddity


Parce que j'aime ces chansons qui sont bien plus vieilles que moi mais qui pourtant réveillent des souvenirs pas si lointains que ça. Parce que, c'est immuable, elle me ramène toujours à ce film qui m'a noué les tripes à chaque fois que je l'ai regardé, C.R.A.Z.Y pour ne pas le citer, un pur bijou que je te recommande si tu as eu le malheur de passer à côté. Parce qu'en l'écoutant, je me sens légère, légère... Peu importe ce vers quoi je me suis envolée, l'important, c'est que je l'aie fait !

Bonne nuit !

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vendredi 7 février 2014

Jazz à Pont-l'Évêque

Crédit : Debra Hurd

Un tout petit mot vite fait, je suis à deux doigts de décéder d'une sournoise grippette contractée Dieu seul sait où et encore moins comment, mais j'ai conscience que je vous ai assez fait languir avec cette histoire d'abord de formation, et ensuite de sujet de mémoire. Sujet de mémoire que j'attendais avec impatience pour pouvoir faire mon coming-out... Voilà, on y est !!!

L'intitulé de la formation, c'est Assistant gestionnaire de projet culturel ou artistique, ouais, je sais, ça claque ! Plus sérieusement, beaucoup de travail en perspective, d'engagement personnel, un stage en entreprise, je ne suis pas certaine de pouvoir véritablement sortir la tête hors de l'eau avant le mois de juillet. Mais je m'en fous, en fait, parce que ce que je fais me plait, et que je le fais au sein d'un groupe vraiment sympa. Le programme est dense, c'est le moins que l'on puisse dire, je te laisse juger par toi-même : compta, droit, marketing, communication, anglais, sécurité, méthodologie de projet, entre autres... Et, pour ce qui est du projet justement, le mien, pour faire court, est de monter un festival international de jazz à Pont-l'Évêque, un thème qui me ravit, les idées fourmillent déjà, c'est te dire !

Vous n'avez plus qu'à me souhaiter bonne chance, en fait...! :p

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dimanche 2 février 2014

Mon endroit préféré

Mon endroit préféré... Je crois qu'on peut difficilement me poser question à laquelle j'aurai plus de mal à répondre. Parce que c'est un crève-cœur que de devoir choisir entre tous les lieux qui me font vibrer, ceux qui m'évoquent de doux souvenirs, ceux qui, au fil du temps, continuent de susciter en moi les mêmes incomparables émotions, ceux qui sont chers à mon cœur, tout simplement.
J'ai pensé à Venise, parce que je sais que je ne me lasserai jamais d'y revenir, au sommet du mont Saint-Clair à Sète, parce que le panorama qu'il offre est tout simplement à couper le souffle, à Palerme, parce qu'elle a ravit mon cœur dès la première seconde, à Ouessant, parce que l'expression "bout du monde" y prend pour moi tout son sens, à New York, parce qu'il ne s'est pas passé une journée sans que je pense à elle depuis que je l'ai quittée... J'ai pensé à tous ces lieux, et à tant d'autres encore... Pour finalement revenir vers ma Normandie chérie et sa jolie Côte de Nacre où me mènent bien des balades de fin de semaine, sur laquelle je file dès qu'un rayon de soleil le permet, qui m'offre tout le grand et bon air dont j'ai besoin pour recharger les batteries dans les moments un peu down. Et surtout qui a su m'accueillir comme si j'avais toujours fait partie des siens, cette terre d'adoption que je ne quitterai pour rien au monde.

Courseulles-sur-Mer, samedi 1er février

On se retrouve la semaine prochaine pour parler du goûter...?

Pour Milie.

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Chouquettes, bienfaits et rugby

Ma semaine en Instagram #68

Dimanche

Nous nous sommes levés tard, il pleut à torrent, autant de bonnes raisons pour commencer ce dimanche très très doucement... Un bon brunch fera l'affaire ! D'ailleurs, c'est marrant mais, si je me retourne sur mes dernières semaines, le dimanche, c'est visiblement le jour de la bouffe, à croire qu'on n'a que ça à foutre ce jour-là...!

Mioum le brunch du dimanche !!!

Lundi

J'attaque bille en tête la troisième semaine de ma formation. Une semaine qui va être capitale puisque, sauf événement imprévu de dernière minute, je saurai mercredi sur quel sujet je vais avoir à plancher pour mon mémoire. J'ai hâââte !!! Et j'imagine que toi un peu aussi, vu comment je te fais languir, à te promettre de tout te révéler une fois que j'aurai cet élément capital en main.
En attendant, le lundi, c'est compta le matin, droit l'après-midi : j'aime autant te dire que l'atterrissage post-week-end est du coup rendu bien difficile. Et surtout super brutal.

Le lundi, c'est compta...! :/

Mardi

Chouquette !!! C'est un petit jeu à la c*n qu'on a lancé lors d'un de nos cours qui avait été passablement perturbé par des sonneries de téléphone. Oui parce que figure-toi qu'il ne tombe pas sous le sens qu'on coupe le volume quand on est occupés. D'où l'idée d'un gage destiné à toute personne dont le téléphone, dorénavant, perturbera le cours : apporter le lendemain des chouquettes à ses petits camarades. Et puis parfois, à la place des chouquettes, y'a des pièces en chocolat...! :D

Le début de la fortune...?

Mercredi

Journée bien remplie, oui, je sais, rien qu'à voir la photo, ça a tout sauf l'air évident ! Mais l'après-midi nous a été accordée pour effectuer des démarches, en l'occurrence pour rechercher un terrain de stage. Pour moi, ça a été rapide, je n'ai pas réussi à joindre celui qui ferait un maître de stage absolument idéal. Du coup, j'ai servi de coussin de sieste à mes minettes, confortablement installée dans le canapé. Et évidemment, j'ai fini moi aussi par la faire, la sieste...!

Servir de coussin de sieste...

Jeudi

Nouveau rituel du matin. J'ai troqué mon bien-aimé Bois d'Orange, dont le vapo était vraiment en bout de course, pour sa petite sœur, la dernière née de Roger & Gallet, l'Eau des Bienfaits. Orange sanguine, mandarine, bergamote, citron, violette, fleur d'oranger, bois de cèdre et patchouli... Tout un programme qui n'a de cesse de ravir mes sens. Une senteur tonique et dynamisante à laquelle je suis déjà accro.

Nouveau rituel du matin

Vendredi

Orangette est toujours à mes côtés, dans mon lit, et ce depuis que ma mère l'a retrouvée, un beau jour de novembre dernier. Je n'ai toujours pas trouvé d'idée lumineuse pour lui accorder une place de choix dans ma chambre, du coup, elle est toujours calée entre nos deux oreillers. Elle n'est toujours pas non plus passée à la machine à laver, je suis dans la crainte que ça lui fasse plus de mal que de bien, oui, je sais, je peux être vraiment très c*n parfois... Mais les souvenirs d'enfance, c'est super précieux...

Toujours près de moi #igdefi #vintage

Samedi

Retrouvailles avec le XV de France aujourd'hui. Devant la télé à défaut d'avoir pu trouver des places pour le Stade de France, c'est pas faute d'avoir écumé l'internet et tous ses recoins en long en large et en travers... Un match époustouflant qui nous aura tenus en haleine jusqu'à la dernière minute pour finalement se solder par une victoire arrachée in extremis, parfaite entrée en matière pour ce Tournoi 2014.
 
Retrouvailles avec les Bleus aujourd'hui

Passez une chouette semaine !

*** Pour Madame Parle et VirginieB. ***

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Edit de 15h43...
Toujours pas en possession du projet que je vais avoir à défendre pour ma fin de formation... tiens bon, c'est pour la semaine prochaine... Normalement...!

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samedi 1 février 2014

Une lecture historique

Pendant que j'étudie, je ne blogue pas, je ne regarde plus la télé, je délaisse un peu tout en fait. Enfin, à une chose près : je ne peux pas m'arrêter de lire ! Même s'il est évident que mon rythme est radicalement différent de celui, effréné, des moments d'oisiveté où je n'ai que ça à foutre.
Cette semaine, après avoir terminé un bon techno-thriller, je me suis plongée dans une ambiance toute autre avec Sigmaringen, le dernier roman de Pierre Assouline.

Il se déroule comme son titre l'indique à Sigmaringen, dans le sud de l'Allemagne, cette ville qui abrite le château des Hohenzollern où s'est réfugié le gouvernement de Vichy en exil à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. un petit bout de France où les passions sont loin d'être éteintes, où les trahisons le disputent aux ambitions démesurées, le tout sous les yeux du majordome Julius Stein, le narrateur de cette petite histoire dans la grande.

Une belle plume soutenue par un important travail d'enquête, une atmosphère unique, feutrée comme le sont les pas des gens de maisons princières, un bijou qui m'enchante et m'emporte, dans lequel je suis, dès que j'ai un instant, pressée de me replonger.

*** Une lecture historique que je partage aujourd'hui avec toi, Virginie ! ***

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